Avinguda Montgó, 8

     

Vendredi 7 février 2015, La Sirena, L'Escala.

Des ouvriers, la plupart du temps, viennent déjeuner ici à La Sirena. Par la porte de service, derrière le comptoir, on entrevoit la cuisine où une femme s'affaire, la cuisinière avec son bonnet blanc. Un endroit populaire déniché qui est devenu un point de chute à chaque visite... plus besoin de demander le code pour le wi-fi.
        

Route de nuit

               

Samedi 15 février 2014, Perpignan.
       

La petite joueuse de flûte

         

Jeudi 27 février 2014, Perpignan.
           

Petit paysage en noir et blanc (57) / L'ordre des choses

           

Mercredi 19 février 2014, entre Cases-de-Pène et Estagel.
   

L'Escala a l'hivern (3)

             

Vendredi 7 février 2014, L'Escala.
      
... De l'autre côté du Golf de Rosas, en face, il y a donc Rosas. Là-bas, c'est aussi la tranquillité de l'hiver. 
Une année j'ai parcouru cette côte, la Costa Brava, hors saison en empruntant simplement des bus locaux courtes distances. J'avais eu quelques difficultés à trouver des endroits ouverts pour dormir. Quelques jours étranges, à l'étranger.
    

L'Escala a l'hivern (2)

          

Vendredi 7 février 2014, L'Escala.
  
...
    

L'Escala a l'hivern (1)

           

Vendredi 7 février 2014, L'Escala.
       
Je ne viens ici, à L'Escala, que l'hiver, quand sur la plage on ne rencontre que des chiens. Joyeux, contents de l'aubaine d'une interdiction temporairement levée.
Je viens passer la journée pour rien. Parce que c'est l'hiver...
         

Trompe l'œil

       

Dimanche 2 février 2014, Perpignan.

Je me souviens que Jacques Dufilho dans "Victorine faisant la visite du château" me faisait hurler de rire. Je peux vérifier aujourd'hui qu'il en est toujours de même. C'est un signe... de je ne sais quoi, mais c'est un signe.

Victorine faisant la visite du château
       

Patrimoine

                   

Lundi 20 janvier 2014, Céret.
      
Au beau milieu, de tout et de rien, une chapelle. Sur le fronton de son châpiteau est gravé "Ste MARGUERITE".

Accompagnement musical :
" Si tu veux faire mon bonheur,
Marguerite-eu, Marguerite-eu
Si tu veux faire mon bonheur,
Marguerite donne-moi ton cœur"
      

Avis aux amateurs

          

Vendredi 17 janvier 2014, Elne.
            
Les limites sont fixées une fois pour toutes. Où serait le plaisir s'il n'y avait plus ni limites, ni règles, ni rien à transgresser. L'interdiction est un bienfait et très souvent une invitation déguisée.
       

Roches et dentelle

            

Jeudi 16 janvier 2014, Port-Vendres.
     
On peut rester longtemps à regarder la mer et la découpe côtière, et se dire que le combat est inégal et qu'on n'en verra pas la fin.
      

Les Templiers

                

Vendredi 31 janvier 2014, Les Templiers, Collioure.
    
Des peintres de passage ont laissé quelques traces, paiements en nature. La lumière est discrète et propice à la partie de cartes de l'après-midi. Seuls les habitués y participent, en jouant ou en assistant tout autour des tables assemblées pour l'occasion.
Dehors, sur la terrasse qui surplombe EL Dui, les chaises et tables enchaînées attendent des jours meilleurs.
     

Petit paysage en noir et blanc (56) / "L'eau à la bouche"

         

Lundi 20 janvier 2014, Château d'Aubiry, Céret.
       
La route qui mène du Boulou à Céret passe non loin du château d'Aubiry. Alors évidemment, à chaque fois, à chaque passage, l'ami Serge aimé/détesté, Françoise Brion, Bernadette Lafont sont convoqués et la voiture fredonne "L'Eau à la Bouche".
       

Géométries

        

  

Lundi 20 janvier 2014, Céret.
       
Tout serait parfaitement ordonné si...
      

Tenue d'hiver pour un micocoulier

                

Lundi 20 janvier 2014, Céret.
      
Le nez en l'air, langue nuageuse sur couleur bleue, micocoulier.
Je répugne à recadrer.
         

Petit paysage en noir et blanc (55) / Une histoire à dormir debout...

Jeudi 23 janvier 2014, Bugarach.
       
Drôle d'endroit. À dire vrai un peu paumé. Peu d'habitants. Parsemant la campagne, un habitat clairsemé plus ou moins traditionnel, quelquefois mobile/léger genre yourte, qui occupe des parcelles de terrain informelles.
Le lieu devait survivre à la fin du monde de 2012. Effectivement, il a survécu... mais peut-être pas grâce à l'inversion magnétique de ce Pic de Bugarach - Ah la la ! la tectonique des plaques nous joue de ces tours ! - D'ailleurs il me semble qu'il ne s'est rien passé de catastrophe naturelle pendant cette période. 
Cependant, je dois dire honnêtement que l'endroit impressionne. Surtout si, comme ce jeudi-là, le temps est tourmenté. Très tourmenté. Pluies diluviennes, lumière solaire éblouissante, arcs-en-ciel éclatants, obscurité profonde alternent rapidement pour le plaisir du photographe. La conduite est cependant parfois hasardeuse.
Un type croisé en voiture s'arrête au milieu de la route, portière ouverte, nous interpelle pour nous raconter - il semble que les histoires qui concernent l'endroit soient toutes plus... étonnantes les unes que les autres - son histoire à lui... qui est Belge ! Plus loin alors qu'il pleut des cordes, sortant d'un bois, apparition fantastique, une sorte de randonneur hirsute émerge sur le bas côté, comme une illumination. Bâton de pèlerin en main il n'a aucun regard pour nous. L'inverse n'est pas vrai. 
La véritable rencontre a lieu entre soi et le paysage, et c'est une rencontre étrange dont on se souviendra mais y retourner serait/sera forcément décevant.

La piscine

     

Jeudi 16 janvier 2014, Port-Vendres.
      
Certains lieux, on dirait, ont fait leur temps. Il reste de moins en moins d'éléments qui permettraient d'imaginer une autre époque, celle d'avant. Des gens vont et viennent, une femme mollement alanguie dans une chilienne voit la lecture de son magazine contrariée par des enfants qui courent en criant autour du bassin, par une fenêtre s'échappe un air de musique qui donne envie de danser.
Les volets et les portes ont disparu, remplacés par du parpaing et l'eau du bassin n'est plus très bleue. Il n'y a que les tamarins qui résistent encore.
         
 

Hors sujet

       

Jeudi 23 janvier 2014, Vinça.
     

Un premier plan, un peu flou, qui occupe une bonne partie de l'image. Un arrière plan net qui n'a pas de rapport avec lui si ce n'est celui du lieu. 
Effet du hasard - les appareils actuels avec tous leurs paramètres embarqués ont une conduite parfois aléatoire - ou intention ?
Plutôt une intention... réitérée ci-dessous.
       

Jeudi 19 janvier 2015, Marne-la-Coquette - Saint Lazare, Paris.
      

Underground

    

Mardi 9 septembre 2014, Rosenthaler Strasse, Berlin.
     
Le passage est étroit. De la rue il n'attire pas, il dénote du voisinage. La ville change si vite.
Bars, cinéma, lieux de musique... le tout indéfinissable, ouverts le soir, la nuit. Quelques herbes folles, des tags, des condamnations de portes ou de fenêtres. L'endroit n'est pas pérenne.
    

Passage obligatoire

               

Lundi 13 janvier, Clinique Saint Pierre, Perpignan.

Le fait est devenu habituel. Cardiologie en ambulatoire, aujourd'hui le ciel est gris. Quelques minutes encore et je serai de nouveau dehors, à l'air libre.
          

Petit paysage en noir et blanc (54)

        

Jeudi 16 janvier 2014, Port-Vendres.
       
Cette photographie d'abandon/de destruction - qui n'a rien à voir, en ce qui me concerne, avec un quelconque "urbex" - me semble le prolongement du "Petit paysage en noir et blanc (53) - Eve of destruction". Une idée fixe sans doute qui se développe toute seule. Alors comme le chante Barry McGuire : "Don't you understand what I'm tryin' to say"...

Ça va mal finir !

          

Jeudi 23 janvier 2014, Estagel.
    
Il est écrit :

Début des travaux le lundi 20 janvier 2014

durée 1 mois

mais à mon avis tout le monde n'était pas d'accord sur les travaux ou sur les dates... Drôle d'histoire...

          

Ramures autour du château

           

Jeudi 23 janvier 2014, Château de Jau.
      
Une allée de belle allure bordée de platanes imposants conduit au château pinardier. L'hiver on remarque davantage le mélange des essences, persistantes ou caduques comme si l'hiver donnait un avantage temporaire aux persistantes. 
Il n'y a personne, seulement les quelques craquements végétaux que produit un vent du nord supportable.