Mercredi 16 avril 2004. Le soleil du printemps, déjà chaud. Instant dont il faut profiter. Même si la guitare a l'air du genre bon marché et la bouteille d'alcool de celui qui laisse la douleur derrière elle, le sable est doux. Il est si fin ici qu'il s'infiltre partout, colle à la peau. Plus tard, réveillé, s'en allant son bagage rassemblé, l'homme ne laissera qu'une empreinte éphémère dont on ne saura rien. Et demain ? Oh, demain... l'oubli, une autre plage, une autre bouteille. Si cela reste possible.
jeudi 5 juin 2014
Bis repetita placent... J'entends plus la guitare
Mercredi 16 avril 2004. Le soleil du printemps, déjà chaud. Instant dont il faut profiter. Même si la guitare a l'air du genre bon marché et la bouteille d'alcool de celui qui laisse la douleur derrière elle, le sable est doux. Il est si fin ici qu'il s'infiltre partout, colle à la peau. Plus tard, réveillé, s'en allant son bagage rassemblé, l'homme ne laissera qu'une empreinte éphémère dont on ne saura rien. Et demain ? Oh, demain... l'oubli, une autre plage, une autre bouteille. Si cela reste possible.
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