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lundi 14 novembre 2016
dimanche 13 novembre 2016
Voyage au long cours
Mardi 15 février 2005, L'Éléphant du Nil, Paris IV
Ça trompe, un éléphant ?
J'ai quelques fois parlé/écrit à-propos d'un bistrot parisien, à Saint Paul, qui s'appelle "l'Éléphant du Nil" - la dernière fois c'était ici . Et je me disais que je n'y avais jamais photographié... je me disais ça sans trop y croire. Et puis voilà que parcourant, comme j'aime le faire entre deux périodes d'activité photographique intense, des images passées - non contactées et peu numérotées... les photos de l'oubli en somme - je tombe sur l'Éléphant !
Je ne résiste pas au plaisir, même si ici le sujet n'est pas vraiment le bistrot, de la mettre en ligne.
dimanche 4 septembre 2016
mardi 10 mai 2016
Cos'è questo film ?
Novembre 2008, quelque part au bord de la mer...
Le titre le dit bien ou du moins pose bien la question... De quoi parle ce film ?
Parce que donc il s'agirait d'un film !? Et la question serait posée sur un ton que l'on pourrait dire agacé.
Je ne dévoilerai qu'incomplètement la supercherie, qui d'ailleurs n'en est pas une, en reproduisant deux lignes (à-peu-près) du dialogue d'un film qui compte, pour moi, parmi les plus importants.
Nanni voce off: [...] Il padrone di casa mi chiede : “Di che parla questo film ?” e io non so che dire...
Nanni voce in: Cos'è questo film ? È la storia di un pasticcere, trotzkista... Un pasticierre trotzkista nell'Italia degli anni '50, è un film musicale. Un musical.
L'important c'est ce que l'on croit. Le reste...
mardi 16 février 2016
samedi 11 juillet 2015
On Air
Jeudi 28 mai 2015, Paris.
Je ne suis pas top top top. Le souffle manque, le cœur s'emballe tous les cinquante mètres. Il me tarde de rentrer à Perpignan... pour échouer aux urgences en attendant mieux.
Je propose à l'ami Michel avec qui j'ai rendez-vous de rester à cet endroit à une table, tranquillement, tant que l'on ne nous aura pas viré. On ne nous virera pas. Ici le bruit des voitures, les bruits de la ville ne parviennent pas... on parle...
vendredi 19 juin 2015
mardi 9 juin 2015
mardi 3 mars 2015
jeudi 12 février 2015
Les Templiers
Vendredi 31 janvier 2014, Les Templiers, Collioure.
Des peintres de passage ont laissé quelques traces, paiements en nature. La lumière est discrète et propice à la partie de cartes de l'après-midi. Seuls les habitués y participent, en jouant ou en assistant tout autour des tables assemblées pour l'occasion.
Dehors, sur la terrasse qui surplombe EL Dui, les chaises et tables enchaînées attendent des jours meilleurs.
vendredi 6 février 2015
Hors sujet
Jeudi 23 janvier 2014, Vinça.
Un premier plan, un peu flou, qui occupe une bonne partie de l'image. Un arrière plan net qui n'a pas de rapport avec lui si ce n'est celui du lieu.
Effet du hasard - les appareils actuels avec tous leurs paramètres embarqués ont une conduite parfois aléatoire - ou intention ?
Plutôt une intention... réitérée ci-dessous.
Jeudi 19 janvier 2015, Marne-la-Coquette - Saint Lazare, Paris.
mardi 30 septembre 2014
mercredi 2 juillet 2014
lundi 9 juin 2014
mercredi 12 mars 2014
Sachertorte
Vendredi 10 septembre 2010, Senefelderplatz, Berlin.
La première fois que j'ai goûté au sachertorte, c'était à Venise. Un voyage avec B. notre fille. Je voulais lui montrer un peu, lui faire partager beaucoup de cette ville que j'avais précédemment découverte. Elle, elle mangeait des grenades à pleines dents, en étalant largement sur le pourtour de la bouche, crachant ou même avalant les pépins. Et nous sommes entrés dans une pâtisserie, une belle pâtisserie. Hypnotisés par la vue puis le goût de ce qui s'appelait donc une sachertorte. Dès cet instant je n'ai cessé de chercher des sachertorte(s) dignes de ce nom, un peu partout. Là, au coin de la Senefelderplatz, nous nous en sommes approchés. Personne n'a donné sa part à l'autre.
(Merci à Nanni Moretti de l'avoir évoqué dans "Bianca")
jeudi 6 mars 2014
Trans Europa Express
Jeudi 30 mai 2012, entre Perpignan et Barcelone.
Le chantier de construction du TGV pour Barcelone avait pris du retard. Beaucoup de retard. Et puis les retards français et espagnols étaient différents. Simplement, si l'on voulait ne pas trop perdre de temps en déplacement, le Talgo du matin, le "Mare Nostrum" (Montpellier-Cartagena) était le bon moyen. D'autres moyens existaient bien sûr, le bus, les trains-brouette Perpignan-Portbou puis Portbou-Barcelone - c'est encore aujourd'hui celui que je préfère, simplement pour la gare de Portbou. Le buffet de sa gare avec sa tortilla con patatas, ses platos combinado et tous ses ouvriers de la RENFE qui passent, repassent, s'arrêtent, se reposent un instant, repartent et les voyageurs qui consultent les panneaux avec le regard inquiet et puis cette attente si particulière aux terminus de lignes.
Le TGV est arrivé. On peut gagner une heure sur deux heures trente de trajet en payant vingt euros de plus dans le même temps. Barcelone est heureusement restée au même endroit.
Dans le Talgo, la voiture-bar - le trajet complet prenait la journée - était souvent déserte au départ de Perpignan. On s'y installait confortablement devant un café máquina pour assister aux passages des contrôleurs, des douaniers, de la police des frontières, dans un sens ou dans l'autre.
Aujourd'hui je n'ai pas encore utilisé le TGV pour Barcelone, le Talgo n'existe plus sur cette ligne, alors bientôt je m'arrêterai de nouveau à Portbou, avant d'aller un peu plus loin... le temps ne manque pas.
Le titre est emprunté à celui d'un morceau de Kraftwerk (1977).
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