Berlin, mercredi 9 septembre 2015
Il est communément admis, pour qui aime un peu les femmes, que leurs jambes sont des compas qui arpentent le globe... comme dit si bien "L'Homme qui aimait les femmes". On pourrait facilement ajouter à ce qui retient l'attention des hommes, le rire éclatant des filles, leur regard ingénument effronté parfois, les yeux des femmes qui racontent tant et tant... et puis leurs cheveux. Toutes les chevelures, de tous les genres, façon Botticelli comme façon Jean S. et puis les créations qui échappent aux classiques, les couleurs flamboyantes si peu naturelles mais qu'elles s'approprient avec une déconcertante facilité !
Nous venons, pour ainsi dire, de descendre du train de Francfort. De Hauptbahnof à Alexanderplatz, prendre le temps d'un café dans le soleil du matin. Il n'est pas 10h et les grandes cités s'éveillent assez lentement. Une photographie, pas de temps de réfléchir, ou d'en faire une seconde au cas où, le tram M4 se présente et nous emporte...
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